J’écris sur les amants perdus
Je fredonne pour les amants foutus
Je chante les amours cocus
Je danse pour celui d’un soir
Je joue pour celui dans le placard
Regardez rougir ma guitare
Éloignez-vous les fleurs bleus
Ceux qui veulent pas causer trottoir
Je vous compterai pas d’amour heureux
Si vous êtes seuls, lâchez vos bougeoirs
Les amoureux du bal perdu
Personne nous dit ce qu’ils sont devenus
Les seuls qui n’ont pas cessé de s’aimer
Sont Montaigu et Capulet
À croire qu’il faut vivre enterré
Pour ne jamais se tromper
Je vous demanderai de vous remémorer
Quelques-uns de vos fantasmes passés
Avant de courir a l’église au bras de votre moitié
C’est vrai c’est intime ces histoires
Mais plus de pudeur dans nos mémoires
Au fond ce serait tous frères et sœurs
Si on avait le même facteur
Pardon si ma main exagère,
Elle écrit éprise de colère,
Aimez-vous à la folie
Vous deux personnes, changez de lit
Les amoureux du bal perdu
Quelqu’un peut me dire ce qu’ils sont devenus
Les seuls qui n’ont pas cessé de s’aimer
Sont Montaigu et Capulet
À croire qu’il faut vivre enterré
Pour ne jamais se tromper
Je fredonne pour les amants foutus
Je chante les amours cocus
Je danse pour celui d’un soir
Je joue pour celui dans le placard
Regardez rougir ma guitare
Éloignez-vous les fleurs bleus
Ceux qui veulent pas causer trottoir
Je vous compterai pas d’amour heureux
Si vous êtes seuls, lâchez vos bougeoirs
Les amoureux du bal perdu
Personne nous dit ce qu’ils sont devenus
Les seuls qui n’ont pas cessé de s’aimer
Sont Montaigu et Capulet
À croire qu’il faut vivre enterré
Pour ne jamais se tromper
Je vous demanderai de vous remémorer
Quelques-uns de vos fantasmes passés
Avant de courir a l’église au bras de votre moitié
C’est vrai c’est intime ces histoires
Mais plus de pudeur dans nos mémoires
Au fond ce serait tous frères et sœurs
Si on avait le même facteur
Pardon si ma main exagère,
Elle écrit éprise de colère,
Aimez-vous à la folie
Vous deux personnes, changez de lit
Les amoureux du bal perdu
Quelqu’un peut me dire ce qu’ils sont devenus
Les seuls qui n’ont pas cessé de s’aimer
Sont Montaigu et Capulet
À croire qu’il faut vivre enterré
Pour ne jamais se tromper