Alors tu vois comme tout se mêle.
Et du cœur à tes lèvres je deviens un casse-tête.
Ton rire me crie de te lâcher.
Avant de perdre prise, et d’abandonner.
Car je ne t’en demanderai jamais autant.
Déjà que tu me traites comme un grand enfant.
Et nous n’avons plus rien à risquer.
A part nos vies qu’on laisse de côté.
Et il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort.
Mais il m’aime encore, et moi je t’aime encore plus fort.
C’en ai assez de ces dédoublements.
C’est plus dur à faire, qu’autrement.
Car sans rire c’est plus facile de rêver,
A ce qu’on ne pourra jamais plus toucher…
Et on se prend la main comme des enfants.
Le bonheur aux lèvres, un peu naïvement.
Et on marche ensemble, d’un pas décidé.
Alors que nos têtes nous crient de tout arrêter.
Et il m’aime encore, et toi tu m’aimes un peu plus fort.
Mais il m’aime encore, et moi je t’aime encore plus fort.
Et malgré ça il m’aime encore , et moi je t’aime un peu plus fort.
Mais il m’aime encore, et moi je t’aime encore plus fort.
Encore, et moi je t’aime un peu plus fort.
Mais il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort.
Et malgré ça il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort.
Mais il m’aime encore, et moi je t’aime encore plus fort.
Et malgré ça il m’aime encore , et moi je t’aime un peu plus fort.
Mais il m’aime encore, et moi je t’aime encore plus fort.
Et malgré ça il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort.
Mais il m’aime encore, et moi je t’aime encore plus… fort…