Soprano — Cœurdonnier

Qui a vu le cœurdonnier?
Le monde a le cœur déchiré
Il aimerait tellement aimer
Mais les hommes, mais les hommes, mais les hommes…
Où t’on-t-ils fait prisonnier?
Mes prières doivent te libérer
Le cœur du monde veut être sauvé
Mais les hommes, mais les hommes, mais les hommes…
Je vois dehors, des cœurs en panne,
Des cœurs en or, devenir des cœurs de pierre,
Des cœurs de glace, des cœurs en flamme,
Des cœurs qui explosent au milieu de cœurs de fer.
Si tu nous entends, viens nous le réparer
Le cœur du monde va mal, Monsieur le cœurdonnier.
On a le cœur déchiré,
On a le cœur déchiré,
On a trop besoin d’aimer,
Où es-tu le cœurdonnier?
La folie des hommes nous l’as déchiqueté,
Le monde a besoin de toi, Monsieur le cœurdonnier.
On a le cœur déchiré,
On a le cœur déchiré,
On a trop besoin d’aimer,
Où es-tu le cœurdonnier?
Le monde a le cœur divisé,
Même Cupidon n’a aucun effet.
Toutes ses flèches ont échouées,
Car les hommes, car les hommes, car les hommes…
La fumée des bombardiers,
Et la pollution l’empêchent de respirer,
Le cœur du monde va s’arrêter.
Car les hommes, car les hommes, car les hommes…
Je vois dehors, des cœurs en panne,
Des cœurs en or, devenir des cœurs de pierre,
Des cœurs de glace, des cœurs en flamme,
Des cœurs qui explosent au milieu de cœurs de fer.
Si tu nous entends, viens nous le réparer,
Le cœur du monde va mal, Monsieur le cœurdonnier.
On a le cœur déchiré,
On a le cœur déchiré,
On a trop besoin d’aimer,
Où es-tu le cœurdonnier?
La folie des hommes nous l’as déchiqueté,
Le monde a besoin de toi, Monsieur le cœurdonnier.
On a le cœur déchiré,
On a le cœur déchiré,
On a trop besoin d’aimer,
Où es-tu le cœurdonnier?
Où es-tu, où es-tu, où es-tu, le cœurdonnier?
Où es-tu, où es-tu, où es-tu, le cœurdonnier?
Où es-tu, où es-tu, où es-tu, le cœurdonnier?
On a le, on a le, on a le cœur déchiré,
On a le cœur déchiré,
On a le cœur déchiré,
On a trop besoin d’aimer,
Où es-tu le cœurdonnier?
Je te vois Monsieur le cœurdonnier.
Oui je te vois dans ton atelier,
Tu répares avec l’innocence d’un enfant,
Tu recouds avec le sourire d’un passant,
Tu recolles avec la douceur d’une maman,
Tu tisses avec du jaune, noir et du blanc,
Mais quand j’regarde ce monde de fou,
J’me dis que le cœurdonnier… c’est nous.
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